Comme vous avez pu le constater lors de mon précédent post, mes dernières productions se sont portées sur la BD. Aussi le début de la nouvelle saison se portera logiquement sur le théâtre.
D'ici fin septembre, j'espère écrire une pièce dont le thème tournera autour de l'art contemporain. Titre provisoire : "L'Art Popackeri" (j'adore mes titres provisoires, ils sont trop nuls et le pire c'est qu'ensuite, ils deviennent définitifs !).
Puis courant 2007 (probablement 2nd semestre), une autre pièce qui me tient à coeur depuis maintenant quelques temps, et où l'action se déroulera dans une léproserie. Titre "plus que" provisoire : "Soutane, lèpreux et charcuterie".
Si la première adoptera un ton comique avec un léger soupçon de moquerie, la seconde, elle, marquera le retour de l'humour noir et cynique...
Entre les deux, je continuerai d'écrire des scénarios de BD avec des projets coincés dans un petit coin de ma cervelle. L'un se présente sous forme d'histoires en 2 planches qui racontera les mésaventures quotidiennes d'un père de famille un peu particulier. Titre provisoire : "Berni ou la vie pathétique d'une tare congénitale".
Le second est beaucoup plus ambitieux, puisque je souhaite écrire une trilogie sur... Non, finalement, j'en parlerai en temps voulu.
Voilà, voilà... Bon, sinon, d'un point de vue administratif, à la rentré, on envoie les dossiers de "Cat'mosphère" et "Walter Clausette" aux maisons d'édition. Même punition pour "Requiem pour une vodka", d'autant plus que la pièce devrait se rejouer prochainement. Concernant "Matriochka" (co-écrit avec Nathalie Nicollet), 2-3 retouches sont à effectuer avant que le texte soit expédié aux concours, institutions et éditeurs... Chère collègue, on se bloque une date ?
Bref, croisons les doigts.
Enfin, et ce n'est pas rien, trouver un dessinateur pour "Chronique d'une chair grillée". Concernant "Spleen", finalement pour le dessin, Joan Aractingi passe la main à David Baran.
Quant à la réécriture de la pièce "Splonge, Dieu de la Terre", c'est à toi de jouer en premier, mon cher Fred...
Je crois que tout a été dit... ou presque... mais bon, vous en savez déjà assez.
Fabien.